Où les livres illustraient un monde utopique.
Où Paris fesait encore rêver.
Où les taxis étaient noirs.
Où les trenchs coats cisellaient les rayons de pluies et de lumière des lampadaires.
Où la fumée de cigarette rendait plus énigmatique encore les drôles d'oiseaux des Cabaret.
Où le whisky malt glissait, sirupeux, dans les bouches fragiles.
Il était un temps où l'imaginaire de l'enfant se laissait convaincre par les ombres du cinéma.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire