Arrêt sur image. Un instant, une couleur, une saveur, un parfum. J'observe, j'identifie, je note, j'examine et je joue. La mode, la mode, la mode. Trois fois et plus. Podiums, trottoirs, placards. La mode est partout. Play. Paris, aujourd'hui. Images d'inspirations, photos, musiques, arts. Toujours la Mode. Surtout. Stop. Future for sale. Rewind <<

samedi 24 octobre 2009

Pour une paire de bottines.


D'aucuns savent ce qu'est la souffrance du désir et de l'envie. Mais aussi, et elles vont de paire, celle de la frustration, du manque. C'est souvent ce qui nous prend, épyléptiquement, lorsqu'au détour d'un rayon trop encombré, une tête de gondole nargue la faiblesse de nos porte monnaie.
Ainsi, elles étaient là, les bottines, que dis je? THE bottines! Celles que j'avais rêvées, que j'avais éspérées, celle pour lesquelles je me serait damné et même trois fois s'il l'avait fallut. Même les frippes n'avaient su répondre à cette vague de désir qui m'engloutissait, et, je le sais, vous connaissez tous ce sentiment!
Et vous en connaissez la suite, et les conséquences! "Ca n'est pas le moment, c'est bientôt noël", "Et ma fiche d'imposition qui arrive", "et cette lampe que je m'étais promis d'acheter..."
Toujours le même baratin pour au final renier ses priorités, et casser sa tirelire cochon (qu'on aurait jamais du acheter parce qu'à quoi bon mettre de l'argent pour acheter une tirelire si on n'en a plus ensuite à mettre à l'intèrieur!). Découverts extravagants et culpabilité rongeuse seront pourtant vaincus par l'envie!
Quest ce qu'on ne ferait pas, pour une paire de bottines?

Aucun commentaire: